PRESSE

Extraits

« Les déambulations en tout genre deviennent la tendance lourde des déambulations chorégraphiques. La compagnie Retouramont, pionnière en la matière depuis 1989, a imaginé Parcours sensoriel, une proposition étonnante […] qui met le spectateur au coeur de l’action dansée. »

Boisseau, Télérama Sortir

« Un agrès circassien non identifié, tout droit venue de son « Vaisseau Spécial » : c’est ainsi que nous pourrions résumer la performance douce et précise de la compagnie Retouramont, découverte par Culture Cirque lors du festival Village de Cirque#17. Deux artistes apaisés et apaisants, qui domptent en plein air et devant un public captivé, un agrès tantôt toupie, tantôt roue. Truffée de prises longilignes, la structure originale permet la réalisation de figures hybrides, mi-cirque, mi-danse, mi-théâtre. On sent les origines de danse verticale de la compagnie dans les mouvements et la progression, au service d’un ensemble pendulaire. »

L’oeil de la rédaction, Culture cirque 

« Autre élan insolite, celui que propose Vaisseau Spécial de la compagnie Retouramont, qui rend possible une exploration utopique de la ville grâce à un drôle d’agrès qui roule et tourneboule. « 

Anaïs Heluin et Agnès Santi, La Terrasse. 

« Et le clou de la journée… La Danse des Cariatides par la Compagnie Retouramont. Cinq danseuses suspendues le long de la façade du château, jeux d’ombres surdimensionnées, projections vidéo… sur une musique contemporaine de qualité. Un ballet aérien de pure beauté, poétique, voire surréaliste. Un vrai bonheur dans ce cadre exceptionnel ! »

Jean-Luc Evin, Ouest-France

« Plutôt que de créer une histoire avec un axe narratif défini, le chorégraphe se focalise surtout sur le lien qui se tisse entre les deux femmes et ce bonhomme métallique [les danseuses et l’agrès]. (…) Tout le monde peut imaginer son histoire, à chaque fois différente, même entre les deux représentations de ce soir. » 

Le Télégramme

« La compagnie Retouramont est l’une des plus éminentes représentantes de la danse escalade. Ce n’est pas tant l’exploit que cherchent ces chorégraphes. C’est plutôt de mesurer la place de l’humain dans des géométries dont il est a priori exclu. Ici sur une construction à dix mètres du sol, là sous le tapis du théâtre, toujours à l’endroit où l’oeil n’a pas l’habitude d’avoir, comme mesure du monde, un corps. Et cette quête obstinée trouve des formes superbes. « 

Philippe Verrièle, webthea.com

« À souligner sur cette Nuit Blanche 2021, l’intéressant travail de danse et d’acrobaties circulaires de la cie Retouramont. »

Frédéric Martel, émission Soft Power du 03/10/2021 sur France Culture

« Ceux qui viendront à la BNF le 17 mai n’auront plus jamais la même vision des quatre bâtiment de verre posés sur le parvis en bois. Ce jour-là, la «danse verticale» s’emparera de ses parois, ses sommets, ses vides … Point d’orgue, et de suspension bien sûr, d’un art urbain vertigineux qui fait de nombreux adeptes. »

Véronique Giraud, Naja 21

« Dominique Perraud, n’avait sans doute jamais imaginé qu’elles seraient (les tours de la BNF) le théâtre d’un spectacle aussi vertigineux. Fanny Gombert et Cybille Soulier se livrent à un duo époustouflant : elles se croisent, se décroisent, prennent leur élan sur la paroi vitrée de la tour, rehoignent le trapèze volant et volent tout autant qu’elles dansent à l’horizontale ou le corps renversé. Elles semblent tout à coup faire partie du monument qu’elles ont totalement apprivoisé. On reste subjugué par ce moment suspendu. Nous, bien ancrés au sol, nous nous sentons pousser des ailes. »

 Jean-Frédéric Saumont, Danses avec la plume

« S’ensuit une autre surprise jamais vue à La Réunion avec la compagnie Retouramont qui [offre] deux propositions de leur travail […]. [Les danseuses] glissent, dansent, se hissent, sautent, se balancent dangereusement en donnant le sentiment d’une liberté propre aux oiseaux. C’est stupéfiant de beauté, d’originalité et surtout de maîtrise de soi. Un rêve ! »

Sophie Lesort, Toute la Culture

« De projet en projet, qu’il s’agisse d’espaces ouverts ou de théâtres, la compagnie ne s’est pas limitée à l’étude de la discipline de la danse verticale, elle s’est toujours placée dans une dialectique constante avec les autres arts et avec le public. C’est également le cas de Jeux d’échelles, dans lequel les interprètes – danseurs, alpinistes, circassiens – se lient avec un groupe de participants pour donner vie à un voyage magique dans le ciel. « 

Crushsite.it

Dossiers web :

Entretien Fabrice Guillot, Journal La Terrasse, septembre 2018

Une histoire de la danse verticale, Artcena, par Sylvie Clidière

La verticale, une utopie éclairante, Artcena, par Thomas Hahn

Entretien Fabrice Guillot, Parcours d’artiste, Artcena

La danse verticale en Kit, Artcena

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